La demande de fruits et légumes biologiques augmentera de 13,8 % en 2021.

Cependant, la croissance enregistrée pour les produits biologiques est principalement due à l’augmentation des prix. Ainsi, la demande a augmenté de 0,9%, les prix de 2,8%, atteignant ainsi une augmentation en valeur de 3,7%.

En 2021, les écoproduits ont montré un changement de comportement par rapport à l’année précédente, car leur demande a augmenté plus que celle des produits de grande consommation, selon les données de l’IRI.

Si l’on analyse le type de produit, on constate que les aliments surgelés sont ceux qui présentent la plus forte croissance de la demande, avec une augmentation de 54,4%. Viennent ensuite les fruits et légumes avec 13,8% et la charcuterie avec 6%.

La demande a augmenté de 0,9%, les prix de 2,8%, atteignant, par conséquent, une augmentation de la valeur de 3,7%.

En analysant le canal, l’étude de l’IRI conclut que la vente de produits écologiques se concentre dans les grands supermarchés (47,7%), gagnant 0,9 point en part de valeur par rapport à l’année précédente.

Il existe également des différences selon les régions espagnoles. Le sud et le nord-est sont les régions qui contribuent le plus à la croissance des produits biologiques. La région de Catalogne a une part de valeur de 17,9% et contribue à la croissance à hauteur de 0,8%. Elle est suivie par l’Andalousie avec une part de valeur de 14,8%, tandis que sa contribution à la croissance est de 1,1%.

Les distributeurs poursuivent leur engagement à proposer des produits écologiques à leurs clients, ce qui se traduit par la présence de références dans les rayons, un nombre qui a augmenté de 2,4 % au cours du dernier TAM. En outre, selon l’étude menée par IRI et Lantern « 2nd Wave : Pulse of FMCG Innovation », pratiquement tous les détaillants et fabricants travaillent sur des initiatives liées à la durabilité.

L’aspect sur lequel ils travaillent le plus est l’innovation en matière d’emballages durables et efficaces, suivie de la gestion adéquate des matériaux et des déchets générés par leur activité. Ils travaillent également sur les stratégies d’économie circulaire, la durabilité de la chaîne d’approvisionnement et les intrants provenant de sources durables. Il est intéressant de noter qu’aucun détaillant ne déclare ne pas travailler sur des initiatives durables (le pourcentage est de 5% dans le cas des fabricants).

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