Une nouvelle étude sur tomate révèle que les pratiques de production n’affectent pas les niveaux de bactéries

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Une étude effectuée par l’Université du Maryland et des chercheurs de Rutgers en 2012 a prélevé et analysé 422 échantillons provenant de 24 exploitations de tomates conventionnelles et biologiques à partir de trois régions qui sont le Maryland, le Delaware et le New Jersey, rapporte la revue The Packer.

L’étude n’a trouvé aucune différence dans le risque de contamination entre les tomates conduites en conventionnel et en biologique. Les chercheurs ont également examiné l’eau d’irrigation, le compost, le sol de la culture, et les taux de la Salmonella enterica, la toxine Shinga et les indicateurs bactériens dans les tomates avant récolte. La recherche a soulevé que l’eau à la sortie du goutteur a un niveau plus élevé de bactéries que les eaux souterraines. Les résultats de l’étude seront publiés dans le numéro de mars de l’International Journal of Food Microbiology.

Source : hortidaily.com

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