La CE libéralise davantage les accords agricoles avec le Maroc et d’autres pays tiers

Pour atteindre cet objectif et faciliter les échanges commerciaux avec les pays de la région méditerranéenne, la Commission souhaite connaître l’opinion des Européens sur des questions telles que les tarifs douaniers, les procédures douanières, l’impact sur les consommateurs de ces pays. accords, leur impact sur l’UE dans les domaines de la durabilité, des droits de l’homme et de l’environnement.

La Commission européenne (CE) a lancé une consultation auprès de la population pour connaître son opinion sur les accords commerciaux entre l’Union européenne (UE) et les six pays partenaires méditerranéens, tels que le Maroc, l’Algérie, l’Égypte, la Jordanie, le Liban et le Canada. La Tunisie, afin d’approfondir les accords commerciaux existants, d’intensifier la libéralisation de l’agriculture et d’ajouter des dispositions dans des domaines réglementaires tels que la facilitation des échanges et les marchés publics.

La consultation, à laquelle participeront des associations telles que la Fédération espagnole des associations d’exportateurs de fruits, légumes, fleurs et plantes vivantes (FEPEX), des ONG, des organismes gouvernementaux et d’autres entités y participera également, se terminera le 27 Novembre

L’objectif est de recueillir des informations et des avis sur l’efficacité, l’efficience, la cohérence et la pertinence des chapitres commerciaux de ces accords, afin de les prendre en compte dans le rapport d’évaluation que la CE prépare pour approfondir les accords avec ces pays.

La CE souhaite connaître l’opinion sur ces accords de tous les citoyens en général, ainsi que des entreprises, des PME, des associations professionnelles et des organisations d’employeurs, ainsi que des chambres de commerce nationales et européennes, y compris des organisations sectorielles.

Également les ONG (y compris environnementales), organisations à but non lucratif, syndicats et organisations de consommateurs, agences gouvernementales, ministères, autorités régionales et organisations internationales, groupes de réflexion, universités, centres de recherche, bureaux de conseil monde universitaire et les cabinets d’avocats qui s’intéressent à l’application des accords d’association euro-méditerranéens.

La consultation comprend 75 questions sur de multiples aspects des accords avec les pays euro-méditerranéens, tels que les tarifs, les procédures douanières, l’impact sur les consommateurs de ces accords, leur impact sur l’UE dans les domaines développement durable, des droits de l’homme et de l’environnement, ainsi que de l’impact sur la population de ces pays.

Les résultats serviront de base à l’évaluation des impacts de ces accords, un projet mené par les agences externes Ecorys, CASE et FEMISE pour le compte de la Commission européenne.

FEPEX soulignent que l’évaluation doit prendre en compte le fort impact de la libéralisation croissante des importations de fruits et légumes de ces pays sur la durabilité sociale et économique de certaines régions espagnoles, compte tenu de la forte différence entre le cadre réglementaire dans tous les domaines sociaux et économique de l’UE et des pays de la rive sud de la Méditerranée.

Source : http://hortoinfo.es/

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